HAWAIIAN MUSIC

HONOLULU - HOLLYWOOD - NASHVILLE

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Booklet : 32 PAGES - ENGLISH NOTES
Number of CDs : 2


29,99 € tax incl.

FA035

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La musique hawaïenne du début du XXe siècle a considérablement influencé toutes les musiques populaires américaines : Country Music, blues... Des virtuoses hawaïens – rarement égalés – ont défini le jeu de guitare en slide connu mondialement. Gérard Herzhaft dresse un panorama de la musique Hawienne enregistrée dans toute l'amérique en 2 CD avec un livret 32 pages.
Patrick Frémeaux

Inclu titre original "Oua oua" de Kanui & Lula
entendu sur la pub TV de Vittel.

Droits audio : Groupe Frémeaux Colombini SAS - La Librairie Sonore.

Les ouvrages sonores de Frémeaux & Associés sont produits par les meilleurs spécialistes, bénéficient d’une restauration analogique et numérique reconnue dans le monde entier, font l’objet d’un livret explicatif en langue française et d’un certificat de garantie. La marque Frémeaux & Associés a obtenu plus de 800 distinctions pour son travail muséographique de sauvegarde et de diffusion du patrimoine sonore.

This album, issued by the world-famous publishers, Frémeaux & Associés, has been restored using the latest technological methods. An explanatory booklet of liner notes in English and a guarantee are included.

ExtractTrackAuthorDuration
CD 1
01 FAREWELL BLUES - HOOPII02'53
02 MAUI - FERERA02'47
03 KAWIKA LILLU E - KALAMA S QUARTET02'45
04 HEELA - KALAMA S QUARTET02'55
05 TICKLING THE STRINGS - KING BENNY NAWAHI03'25
06 PALOLO - KANE S HAWAIIANS03'22
07 PAPIO - BRIGHT AND HIS HOLLYWAII02'57
08 TOMI TOMI - KANUI02'53
09 OUA OUA - KANUI02'47
10 BLACK BOY BLUES - KING BENNY NAWAHI02'50
11 SAINT LOUIS BLUES - JIM AND BOB THE GENIAL HAWAIIA02'53
12 E MAMA EA - TAU MOE FAMILY02'44
13 SPANISH SHAWL - RODGERS02'56
14 HAWAIIAN HULA - SAM KU WEST03'02
15 HONOLULU BOUND - KING BENNY NAWAHI02'48
16 HAWAIIAN COWBOY - BRIGHT AND HIS HOLLYWAII02'55
17 HONOLULU MARCH - FERERA02'45
18 HULA GIRL - HOOPII03'05
CD 2
01 HULA BLUES - HOOPII02'54
02 I LIKE YOU - HOOPII03'10
03 MEDLEY OF HULA S - KALAMA S QUARTET02'59
04 EVRYBODY DOES IT IN HAWAII - RODGERS02'50
05 JIMMIE THE KID - RODGERS02'48
06 ON A COCONUT ISLAND - ARMSTRONG03'11
07 LES FEMMES D AMERIQUE - STEWART02'33
08 TWELTH STREET RAG - SMECK02'54
09 LIMEHOUSE BLUES - SMECK02'42
10 BUGLE CALL RAG - SMECK03'07
11 HILO MARCH - MC INTIRE02'27
12 STEEL GUITAR CHIMES - ACUFF02'44
13 STEEL GUITAR BLUES - ACUFF02'51
14 STEEL GUITAR RAG - WILLS02'43
15 STEEL GUITAR STOMP - WILLS02'32
16 HILLBILLY HULA - JENK02'05
17 THE CAISSONS GO ROLLING ALONG - JENK02'33
18 CAN T YOU REMEMBER - CASEY03'12
"Hawaiian Music" par Soul Bag

****SOUL BAG "Guitare hawaiienne, slide-guidar et bottleneck font si bon ménage que ce recueil, compilé de manière remarquable par Gérard Herzaft, intéressera tous ceux qui n’ont pas pu résister aux coffrets déjà parus dans cette série initiée par Frémeaux & Associés avec un soin digne d’éloges, tant en ce qui concerne la sélection des morceaux que le repiquage et les livrets richement illustrés et documentés..." Robert SACRE – SOUL BAG



****SOUL BAG « Guitare hawaïenne, slide-guidar et bottleneck font si bon ménage que ce recueil, compilé de manière remarquable par Gérard Herzaft, intéressera tous ceux qui n’ont pas pu résister aux coffrets déjà parus dans cette série initiée par Frémeaux & Associés avec un soin digne d’éloges, tant en ce qui concerne la sélection des morceaux que le repiquage et les livrets richement illustrés et documentés : « Country » (FA015) « Western Swing » (FA032) et « Western » (FA034), sans oublier les amateurs de blues qui laissent les œillères et les à-priori au vestiaire (la présence ici de Casey Bill Weldon les rassurera) voire de jazz (Louis Armstrong est là !). Bien sûr, il est fascinant d’entendre ce que Bob Wills, Roy Smeck, Jimmie Rodgers, Roy Acuff et consorts ont pu faire, avec ou sans musiciens hawaiiens dans leurs groupes, mais ce sont surtout ces derniers qui sont les plus intéressants à découvrir, même si la présence des uns et des autres dans ce recueil est judicieuse puisqu’elle démontre à quel point la musique hawaiienne a influencé la musique américaine de l’entre-deux-guerres.
Du style vaguement pré-rap du Kalama’s Quartet (Heela) et de Kanui & Lula (Tomi Tomi et surtout le très original Oua oua gravés à Paris en 1933 !) au country très bluesy du génial Sol Hoopii (Farewell blues, Hula Blues), de King Benny Nawahi (Tickling the strings, Black Boy Blues), de Jim & Bob (St. Louis Blues) etc, et au flirt avec le répertoire jazz de Sam Koki avec Armstrong dans On a cocoanut island) entrecoupés de marches (Frank Ferera : Honolulu March) et de hulas (Sol Hoopi : Hula girl, Sam Ku : West Hawaiian Hula) on ne ménage pas son plaisir. » Robert SACRE – SOUL BAG





"Hawaiian Music" par Roots to Rythm

« Sound quality is splendid, there are many vintage photos of the featured artists, and the notes and discographical information (in both French and English) are solidly worthwhile. Even thought there is considerable overlap with other currently available is sues, such as the Sol Hoopii sets on Rounder and the Hawaiian music collections on Arhoolie, I would still argue that this comprehensive set is worth adding to your collection either as a delightful introduction to this important music or as a particularly well chosen various artist program.” D.H. – ROOTS OF RYTHM


« Sound quality is splendid, there are many vintage photos of the featured artists, and the notes and discographical information (in both French and English) are solidly worthwhile. Even thought there is considerable overlap with other currently available is sues, such as the Sol Hoopii sets on Rounder and the Hawaiian music collections on Arhoolie, I would still argue that this comprehensive set is worth adding to your collection either as a delightful introduction to this important music or as a particularly well chosen various artist program.” D.H. – ROOTS OF RYTHM




« Grands chefs d’oeuvres » par Écouter Voir

Ce coffret 2CD est dû à l’auteur de cet article. J’ai essayé à la fois de rassembler certains des grands chefs d’œuvre de la guitare hawaïenne d’avant-guerre et, dans le CD2, de démontrer l’énorme impact de ces musiciens sur leurs homologues Américains, dans le jazz, les variétés, la country music et le blues. Je pense que ce recueil plaira autant aux discothécaires qu’aux emprunteurs. Il a reçu une critique très laudative autant en France qu’aux États-unis et il est évidemment très facilement disponible.
ÉCOUTER VOIR




« Virtuoses hawaïens » par Le Figaro

Partant du principe qu’il n’y a pas de mal a se faire du bien, on achètera ce double CD en gloussant de jubilation : il y a là dedans des trésors de vvvvvyyyyyyuuuuu, de wwiwwwwiiii, de piiiiiooong : le meilleur de la folie hawaïenne qui saisit l’Amérique dès la fin des années 20. Aujourd’hui, la country music, le blues et, à l’occasion, toutes les musiques anglo-saxonnes (y compris Eddy Mitchell et Francis Cabrel) usent avec générosité des glissandi sucrés de la slide guitar, des diphtongues moelleuses de la guitare hawaïenne. On a complètement oublié des virtuoses hawaïens comme Sol Hoopi, Frank Ferera ou King Benny Nawahi, qui firent des tubes délicieusement exotiques et influencèrent durablement leurs confrères américains. Ainsi, le père de la country moderne Jimmie Rodgers se passionne pour le yodel hawaien, le New Yorkais Roy Smeck joue Limehouse Blues à la steel guitar…Cette anthologie adorable fait l’inventaire, combinant avec bonheur le plaisir et l’érudition.
LE FIGARO




« Aux sources du phénomène » par Le Monde de la Musique

La musique hawaïenne est contemporaine du musette et de ces musiques populaires urbaines nées avec les grandes métropoles modernes. Bien que les musiciens hawaïens en aient été les créateurs, elle doit plus encore aux répertoires mexicains ou viennois. Musique de variété américaine fort en vogue au début du siècle à l’égard du rag time et du blues auxquels elle emprunte de nombreuses tournures, la musique hawaïenne fut également friande de ces accessoires musicaux qui se multiplièrent avec l’explosion de la lutherie industrielle et le métissage des grandes villes. On en fit d’abord un usage exotique (qui inspira à Spike Jones son Hawaiian War Chant, hélas ! absent de ces plages) avant de leur trouver un véritable statut musical. D’abord évocateur de la lascivité des îles sous le nom de guitare hawaïenne, l’art de la glisse sur cordes pincées deviendra synonyme d’Amérique profonde avec les bottleneck des bluesmen, la lap steel guitar du western swing, le dobro du bluegrass, la pedal steel guitar de la country music contemporaine. On connaît le principe de la collection : deux disques et un abondant livret bilingue confiés à un spécialiste pour rassembler et commenter autour d’un sujet ce qui se trouvait jusque là dispersé sur des catalogues disparates. Cette fois-ci, c’est Gérard Herzaft qui remonte aux sources du phénomène, et il s’y connaît.
Franck BERGEROT – LE MONDE DE LA MUSIQUE




« Exotisme de bon aloi » par Le Cri du Coyote

Sans vouloir recopier le livret de ce double album, on doit reconnaître que « la musique hawaiienne du début du XXe siècle a considérablement influencé toutes les musiques populaires américaines : Country Music, Blues ». L’anthologie, qui rend hommage aux pionniers du genre (Soll Hoopi, Frank Ferera et King Benny Nawahi) nous promène dans un exotisme de bon aloi, où chaque auditeur trouvera son compte : l’amateur de Django Reinhardt comparera sa version de « Saint Louis Blues » à celle de Jim & Bob (The Genial Hawaiians). Le fondu des Cramps pourra conseiller à leur fan club le désopilant « Oua Oua » de Kanui & Lula, un morceau surréaliste précurseur de l’art de Charlie Feathers ! Les fanas de Louis Armstrong coinceront la touche « repeat » sur la plage 6 du CD 2 pour se repaître sans fin de « On a coconut Island » (avec Sam Koki & The Polynesians). Les country boys se concentreront sur Jimmie Rodgers, Roy Acuff (avec Cousin Jody) et Bob Wills. Enfin les bluesmen écouteront avec intérêt le « Can’t you remember » de Casey Bill Weldon, « the Hawaiian Guitar Wizard », tandis que les Hillbilly Cats se feront un bonheur du « Hillbilly Hula » du transcendant Jenks Tex Carman, un musicien digne du contemporain Junior Brown ! Bravo donc au compilateur, qui n’est autre que notre irremplaçable Gérard Herzaft ! That’s all folks.
Michel ROSE – LE CRI DU COYOTE




« Total délice » par Libération

Du soleil, de l’humour, un brin de nostalgie : cette collection de 36 morceaux joués par des virtuoses de guitare hawaïenne, de country ou de blues, est un total délice. Tout public !
LIBÉRATION




« Style plein de grâce » par L’Affiche

Vous vous souvenez d’Elvis Presley gominé et ceint de fleurs de tiaré étalées sur son torse nu ? Cela se passait sous les cocotiers dans les films « Blue Hawaï » et « Paradise, Hawaian Style ». Dans cet univers paradisiaque, colonie américaine, il faisait semblant de toucher une guitare hawaïenne mais n’avait évidemment pas la virtuosité d’un Sol Hoopli, d’un kin Benny Nawahi, d’un Frank Ferera qui, eux, ont défini ce à quoi tout le monde s’essaye sans toujours y réussir : le bottleneck (ou jeu slide). Dès le début du vingtième siècle, la musique hawaïenne a considérablement influencé toutes les musiques populaires américaines en gestation (blues, country music, jazz, variétoche hollywoodienne) et, par la suite, les guitaristes du monde entier dans tout les genres. On retrouve ce style plein de grâce, de vibrations et de virtuosité dans cette magnifique anthologie (deux CDs) en écoutant les plus grands de cette tradition qui nous conduisent d’Honolulu à Nashville via Hollywood selon des chemins que vous découvrirez avec surprise : un archipel, une musique, un regard, une source. Un délice total.
Jacques MATINET – L’AFFICHE




« Étonnant !» par Blah Blah

Les marins portugais apportèrent à Hawaï une technique de chant traditionnelle, la braguinha, qui évoluera vers l’ukulélé. Plus tard, les Mexicains introduiront la guitare, les locaux l’adapteront à leur manière de jouer, et la musique moderne d’Hawaï va naître, mais aussi influencer en retour la future country et, bien sûr, le blues. Étonnant !
H. LEE – BLAH BLAH




« Les trésors des îles d’Hawaï » par Les Inrockuptibles

Ces dernières années, c’est grâce au pèlerin Bob Brozman que la musique hawaïenne a fait une entrée remarquée dans toute les MJC de France. Avec ses étonnantes guitares National - croisement entre un moule à gaufres et une boite à biscuits, utilisées indifféremment comme guitare, batterie ou appeau à oiseau exotique -, le bon Bob marchait sur les traces de Tau Moe Family, en tournée européenne soixante ans plus tôt. Le concert berlinois de juin 1938 a dû faire un drôle d’effet. Car l’idée qu’on se fait du paradis ressemble drôlement aux roucoulades de la Tau Moe Family. C’est à peine de la musique, plutôt des caresses, des sourires, des chatouilles, des guili-guili à l’âme. Les premiers gazouillis d’une musique américaine excentrique qui a donné des Violent Femmes, des Beck ou des Pavement. Mais revenons à nos cocotiers. Au début du siècle, raconte cet estimable coffret d’incunables, Hawaï a la cote. Les pagnes, les colliers de fleurs et les filles en chocolat d’Honolulu déferlent sur le continent américain. Le bienheureux folklore américain (vaudeville, western swing) s’empare rapidement des trésors des îles d’Hawaï… un peu dépravés par l’usage de l’idiome américain. Car l’indigène hawaïen ne parle pas notre langue musicale : là-bas c’est comme si l’alphabet ne comportait que des voyelles. Le chant est suave et les notes glissent et fondent, chaudes et liquides. Qu’il est bon de ne pas comprendre le hawaïen, de se laisser bercer par cette langue purement sensuelle. Entre les mains des cowboys, la musique hawaïenne – débonnaire - devient américaine - laconique. Mais sous des doigts audacieux, le guitare en métal fait encore des merveilles. Dans le monde civilisé, les Hawaïens étaient fréquemment fichés comme « peaux-rouges ». Un de leurs émules, Jenks « Tex » Carman, était d’ailleurs un authentique cherokee, et un véritable cinglé. Son The Caissons go rolling along, chef-d’œuvre de guitare relativement frappé, vaut l’intégrale d’Eugene Chadbourne ou Hasil Adkins. Voir aussi Dany Stewart et son grivois Les Femmes d’Amérique, chanté en français pour bercer les censeurs. Voir Bob Wills swinguer sur le plage. Voir encore Roy Smeck, qui rend à l’expression « jouer de la guitare » son véritable sens : ludique. Voir enfin Louis Armstrong, citoyen d’honneur d’Honolulu, seul Américain d’Amérique habilité à crooner le bonheur sous les cocotiers. Dans une réclame des années, National vantait la solidité des ses guitares, « garanties à vie ». Le BVP confirme : soixante ans après, la magie des guitares National est intacte. Stéphane DESCHAMPS – LES INROCKUPTIBLES




« De découverte en découverte » par Trad Mag

Parmi les musiques d’inspiration populaires qui firent la gloire des plateaux de photographes, et que Frémeaux réédite inlassablement depuis quelques années, la musique hawaïenne manquait. Ce double CD réalise un tour d’horizons des orchestres les plus représentatifs de ce fleuron de la variété, en vogue entre les deux guerres. Loin d’être une musiquette insipide, comme celle des groupes pseudo-hawaïens des années 50-60, ces orchestres brillent par l’humour du répertoire et la maîtrise des instruments/ ukulélé, guitare ou dobro. Les voix délicieusement désuètes « scattent » ou « yodlent » en diable ! On va de découverte en découverte en écoutant ces chants naïfs encore très proches de la musique ethnique. Quel plaisir d’entendre Franck Ferera, Sol Hoopii ou Kanui et Lula qui interprètent un morceau truculent : Oua Oua ! Saviez-vous que Jimmy Rodgers et même Louis Armstrong avaient donné dans la musique hawaïenne ? Ce disque dirigé de main de maître par Gérard Herzaft nous en donne quelques exemples. Terminons cette chronique en ajoutant que le livret est extrêmement bien documenté (comme toujours chez cette éditeur) Robert SANTIAGO – TRAD MAG




« Hawaiian music, Honolulu-Hollywood-Nashville 1227/1944 » par Country Gazette

Van een gehhel ander gehalte is de prachtige dubbel CD « Hawaï Music 1927-1944 » op FA035. Een keur van instrumentals/vocals horen we hier en in een prima geliudskwalileit. Louis Armstrong horen we met Sam koki op teel in « On A Coconut Island ». Maar ook Roy Acuff met Cousin Jody in « Steel Guitar Blues ». Het dikke inlegboekje vertelt de hele geschiedenis geïllustreerd met vele foto’s. CD-1 bevat de echte Hawaiiaanse mense, zoals King Benny Nawahi, Kanui & Lula, Kalama’s Quartet, Soll Hoopi, Frank Ferera, Sam Ku West en andere. CD-2 bevat stukken wan mensen die vaak ook geïnspireerd werden door de Hawaï muziek zoals b.v. Jimmie Rodgers, Roy Acuff, Bob Willls en anderen. Dit Fremeaux bracht o.a. ook nog een dubbel CD uit « Western Swing 1928-1944 » Fa-032, « Country 1927-1942) Fa-015, « Western Cowboy 1927-1942 » FA-034. Verder nog vele Jazz CD’s, ook bijna allemaal oud werk, kortom een heel mooi label. Hopelijk is dit label wat gemakkelijk in Nederland te verkrijgen, meestral zijn de Fransen niet erg bereidwillig om de verkrijgbaarheid te vergroten. Ik vraag me dan altijd af waarom brengt men dan zoveel CD’s uit ? COUNTRY GAZETTE




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