Partout, on vantait leur gentillesse. Ils auraient du se sentir heureux. Seulement, chaque jour, quand la grand-mère regardait le soleil se lever, ses yeux se couvraient de larmes.
GT : Et pourquoi elle pleurait ? On l’ennuyait ? On la chatouillait, on la repoussait ? On la secouait, on la critiquait ?
EA : Attends, l’histoire n’a même pas commencé. Écoute ce que la grand-mère se disait.
…« La vie m’a beaucoup donné… c’est vrai… seulement, il m’a manqué un bonheur que je voulais par-dessus tout : le bonheur d’entendre les cris d’un enfant. »
EA : « Oh la pauvre ne devait pas s’amuser.
Toute seule sans personne,
Sans personne pour plaisanter,
Personne pour jouer,
personne pour se disputer,
Personne pour jouer,
personne pour se disputer,
GT : Personne pour danser, personne pour jouer,
Personne pour danser, personne pour jouer,
Personne pour danser,
2 - Le temps passait doucement quand un matin, elle crut entendre une voix.
Elle regarda tout autour d’elle et ne vit rien d’autre que le soleil qui brillait et les oiseaux qui à leur habitude, fredonnaient bruyamment.
Soliste : « Je ne peux te donner un enfant. Mais fabrique un bonhomme en pain d’épices…, un pas trop grand. Et bientôt, je t’assure, tu le verras courir autour de toi. Seulement, n’oublie pas. Prends garde à trop le faire cuire. »
Brusquement, jailli de nulle part, voila les paroles que la grand-mère entendit. Elle resta bouche bée, à trembler comme un pot de gelée d’abricots. La voix reprit son discours ! La vieille faillit tomber à la renverse.
GT : Et pourquoi ? Le bruit l’a fait s’évanouiiller ?
EA : Mais non, une voix s’est remise à parler ! Une voix venue de nulle part, c’est curieux
GT : C’est curieux, Mais ça ne veut rien dire « curieux » Pourquoi pas insolite, mystérieux,
Ou même surprenant, inquiétant, Etonnant, ahurissant, abracadabrant,
Fabuleux, prodigieux, faramineux Enfin je ne sais pas ce que tu veux.
Après avoir entendu la voix, la vieille resta raide et droite, sans bouger, des heures entières. Elle oublia même d’aller s’occuper de son jardin. Et puis elle réfléchit un moment, et devinez ce qu’elle pensa :
Tous les enfants joueurs : « Qu’est-ce que je risque? Au pire, mon mari mangera le pain d’épices. »
Alors elle alla dans sa cuisine et commença à préparer le gâteau. Et bientôt une bonne odeur se répandit dans la maison. Le grand-père pointa aussitôt le nez, approchant de toute la vitesse dont il était capable,
GT : Le ventre qui gargouille, les babines retroussées. Alléché, gourmand, affamé.
EA : Chut, vas-tu écouter l’histoire qu’on veut te conter. Alors le grand-père, qu’a-t-il demandé? « Que prépares-tu ? Cela sent si bon ! Du pain d’épice, tu n’en as pas fait depuis si longtemps… fais le bien dorer, c’est ainsi que je l’aime. »
Et le vieux se mit à rire de plaisir. Toute heureuse de la mine réjouie de son mari, la grand-mère négligea la recommandation que la voix lui avait répétée.
3 - Et elle laissa griller le bonhomme de pain d’épices dans le four. Quand la vieille ouvrit la porte du four, elle eut l’impression que le gâteau remuait.
Puis quand elle voulut le sortir, elle ne parvint pas à l’attraper. On aurait dit qu’il s’amusait à lui échapper.
Les deux chœurs : « En haut, en bas, il saute un peu partout… à droite, à gauche, il tourne comme une toupie le bonhomme en pain d’épices. »
Surpris par le spectacle, le vieux observait, la bouche grande ouverte. « Arrête de bouger, s’il te plait ». Mais le bonhomme de pain d’épices sauta sur le sol de la cuisine et commença à courir.
Le vieux tenta bien de s’emparer de ce drôle de gâteau si agité. Il bondit mais ne saisit que du vent… et boum, tomba sur ses fesses.
Les deux chœurs : « ouille… aïe… aïe… ouille. »
Soliste : « Courez, trottez, galopez !
Prenez une épuisette, un filet…
Jamais vous ne l’attraperez »
GT : Qui ?
EA : Le bonhomme en pain d’épices, pardi.
On jurerait que tu n’as pas suivi Tout le monde court, tout le monde le poursuit. »
Le bonhomme de pain d’épices se précipita à l’extérieur de toute la vitesse de ses petites jambes. Au bout de quelques pas, heureux de sa liberté, il regarda tout autour de lui. Il vit alors une énorme vache qui s’approchait doucement : « Ne bouge pas. Tu sens tellement bon. Est-ce que je peux croquer un morceau de ton ventre ? » Le bonhomme de pain d’épices hurla de rire. « J’ai échappé à la petite vieille qui m’a cuisiné, et toi tu crois m’attraper ? Tu ne me fais pas peur, je peux te le jurer ! »
Et le bonhomme s’élança sous le ventre de la vache, si rapidement que, sans réfléchir, le pauvre animal se passa la tête entre les pattes… et tomba le museau contre le sol.
Le bonhomme de pain d’épices, voulut alors traverser les champs qui s’étendaient devant lui pour aller vers la forêt. Mais il n’avait pas fait dix pas qu’il sentit le sol trembler. Un magnifique cheval s’approchait au galop. « J’ai vu ce que tu as fait à mon amie la vache, mais moi, je cours trop vite pour toi. Je vais t’avaler d’une bouchée. »
GT : Ils parlent les chevaux?
Je croyais qu’ils plissaient les naseaux,
Qu’ils claquaient des sabots.
EA : Un peu d’attention, voyons… on t’a répondu.
Dans les contes, tout le monde parle, même les tortues,
Les crocodiles, les girafes, les zébus
Les carpes dodues, les ours joufflus,
Les ânes têtus, les boucs bossus.
Les rats moustachus, les chiens poilus.
Les puces, les poux, les sangsues.
Les flamants roses, les hérons, les grues.
Le bonhomme de pain d’épices observa longtemps le cheval et se mit à rire :
« J’ai échappé au vieux, à la vieille et à la vache. Ce n’est pas un canasson tout pelé qui m’attrapera. »
Et le bonhomme se mit à sauter dans tous les sens si vite que le cheval en eut le tournis et courut droit dans un arbre.
4 - EA : Dans un arbre, voilà qui fait mal. Pauvre animal.
GT : Dans les contes, pas de bosse, de blessures.
Pas d’entorses, d’éraflures, d’écorchures
De meurtrissures, ou de fractures…
Pas de nez qui coule ou de rage de dents J’aimerais bien y vivre, finalement.
Le bonhomme se remit alors à courir en riant. Il entendit alors une grosse voix d’homme, celle d’un paysan qui coupait le blé : « Eh ! Où vas-tu ainsi ? Approche un peu et sers-moi de goûter. J’ai bien assez travaillé. » Le bonhomme de pain d’épices se tourna vers lui et lui chanta :
« J’ai échappé au vieux, à la vieille, à la vieille, à la vache, à la vache, au cheval. Ce n’est pas un vieux bonhomme comme toi, tout pataud, tout lourdaud, tout lourdaud, tout pataud qui pourra m’attraper. »
Et il sauta à droite, à gauche aussi vite que possible. Le paysan courait derrière lui en soufflant et en soupirant. Au bout de quelques minutes, le pauvre homme, rouge comme une cerise, tomba dans une meule de foin,
GT : Mais pourquoi pas rouge comme une fraise,
Une pivoine, une écrevisse…
Ou pourquoi pas noir comme du chocolat, de la réglisse ?
Ou jaune comme un coing, violet comme un pruneau.
Vert comme une groseille à maquereau.
Et le bonhomme de pain d’épices poursuivit son chemin en bondissant.
Il arriva alors près d’une rivière qui séparait les champs de la forêt. Il n’osait sauter, n’ayant jamais vu un cours ou même un filet d’eau. Il resta sur la berge un long moment, à ne savoir quoi faire jusqu’à ce qu’un grand renard roux s’approche. Le bonhomme voulut d’abord s’enfuir mais l’animal, l’avait vu se débarrasser de la vache, du cheval et du paysan. Il resta à distance : « Rassure-toi, je ne veux pas te manger. Je me nourris de poules, on te l’a dit sans doute ! Mais si tu veux, je peux te rendre service et t’amener de l’autre côté. »
EA : Comment ! Tout le monde sait parfaitement
L’ours est gourmand, le loup méchant,
La fourmi travaille tout le temps,
L’éléphant a une grande mémoire,
La cigale chante du matin au soir :
« La donnae mobile »
Le renard est menteur, voleur, avide, malfaisant.
5 - Le bonhomme réfléchit un instant:
Soliste : « Et comment traverser la rivière,
Sans couler comme une pierre ? »
« Je nage jusqu’à l’autre rive et toi, tu te mets sur ma queue. Ainsi tu ne risqueras rien. » Soliste : « Quelle bonne idée… pour la première fois, je vais nager. »
Rassuré, le bonhomme de pain d’épice accepta la proposition du renard, mais celui-ci avant de plonger tourna la tête: « Tout compte fait, tu devrais te mettre sur mon dos; j’ai peur que tu ne sois trop lourd pour ma queue. »
Soliste : « Comme tu voudras… tu sais mieux que moi,
Ce qu’il faut faire, pour traverser une rivière. » « Oui, mais là, il est certain que tu vas te mouiller. Viens plutôt sur ma tête. Tu resteras au sec. »
Devant tant de gentillesse, le bonhomme se sentit reconnaissant et il bondit entre les oreilles de l’animal.
Soliste : « Faisons à ta volonté.
A présent, j’ai hâte de voguer,
Comme un bateau de naviguer. »
« J’ai une meilleure idée. Je vais nager le nez en l’air. Pose-toi dessus, là tu seras vraiment à l’abri. »
Le bonhomme de pain d’épice applaudit de ses deux petites mains:
Il se jucha sur le nez du renard qui aussitôt renversa la tête en arrière et lui croqua une jambe et un bras.
Soliste : « Aïe, voila de ma personne, une bonne moitié.
Dévorée, grignotée, goulûment avalée. »
EA : Le pauvre avait de quoi perdre la tête A sentir le souffle de la bête,
Sur son ventre, sur son dos. Le pauvre avait de quoi perdre l’esprit A sentir la morsure des crocs Dévorer sa bonne pâte, en faire de la charpie.
Soliste : « Aïe, voila de ma personne, une bonne moitié.
Dévorée, grignotée, goulûment avalée. »
Et le bonhomme de pain d’épices se mit à sautiller dans les herbes pour échapper au renard qui le cherchait en se léchant les babines. Le bonhomme resta caché dans une motte de terre jusqu’à la nuit avant de ramper vers la maison, frémissant au moindre bruit.
Le lendemain, la grand-mère eut la surprise de retrouver son bonhomme en pain d’épices sur le sol de la cuisine,
GT : Coupé en deux, trempé, crotté.
EA : Coupé, découpé, Mâchonné, mâchouillé. »
Elle le nettoya avec son chiffon et lui fit une jambe en brioche. Depuis, on entend tout le temps des rires dans la maison.
Le chœur : Une jambe en brioche, un menton en galoche.
Des yeux en caramel, une bouche tout en miel.
Il trotte, il court, il glisse. Le bonhomme en pain d’épices.
En haut, en bas, il saute un peu partout
A droite, à gauche, à gauche, à droite.
Frédérick Martin est un compositeur autodidacte né à Paris en 1958. Après une enfance passée en Afrique, se consacre à la musique et est récompensé par plusieurs prix, dont la Villa Médicis et récemment le prix Paul-Louis Weiler décerné par l’Académie des Beaux-Arts. Son œuvre comprend entre autres 4 symphonies, un opéra, 7 quatuors à cordes, 3 sonates pour piano, des concertos ainsi que de nombreuses pièces de chambre. Il a déjà composé pour les éditions Frémeaux & Associés la musique de plusieurs contes musicaux sonores.
Yassen Vodenitcharov est né à Bourgas, en Bulgarie en 1964. Après ses études au Conservatoire National Supérieur de Musique de Sofia, en 1990 il arrive à Paris pour suivre un stage de musique électroacoustique au GRM, à la Radio-France. En 1991 il est admis au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans la classe de composition de Paul Méfano, où Il obtient son prix en 1995. En 2008 il soutient sa thèse doctorale de musicologie à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales. Lauréat de nombreux concours internationaux, sa musique est jouée dans la plupart des pays d’Europe, ainsi qu’en Amérique du Nord, au Venezuela, au Japon et en Australie.
Après des études de littérature à l’Ecole Normale Supérieure, Vincent Bouchot entreprend une carrière de chanteur professionnel, d’abord à La Chapelle Royale, puis au Groupe Vocal de France. Après une formation en musique ancienne au Studio Versailles Opéra, avec René Jacobs et Rachel Yakar, il rejoint en 1994 l’Ensemble Clément Janequin dont il est membre permanent, et avec lequel il a enregistré une dizaine de disques. Interprète inlassable de la musique des XXème et XXIème siècles, il crée de nombreuses pièces d’A. Solbiati ; J. Rebotier, I. Xenakis, J. Lenot, F. Luque, F. Lagnau, B. Gillet, G. Pesson, C. Looten, C. Carcano… Vincent Bouchot a composé une soixantaine d’œuvres, dont six opéras de nombreuses mélodies et de cantates et plusieurs ouvrages pour les Editions Frémeaux & Associés.
Clotilde Courau passe son enfance avec ses parents et ses trois sœurs en Égypte et au Bénin. A l’âge de 16 ans, elle décide de devenir comédienne et s’inscrit successivement au cours Simon, au cours Florent, à l’École de la rue Blanche (ENSATT), ainsi qu’à l’Atelier International de Théâtre, à Paris.
Sa carrière débute sur les planches dans la compagnie de Francis Huster. En 1990, elle fait ses premiers pas au cinéma dans Le Petit Criminel de Jacques Doillon, pour lequel elle est récompensée du Prix de la meilleure actrice au Festival international du film de Berlin (Berlinale) et elle est nominée aux César.
Elle devient alors une des actrices incontournables du cinéma français et multiplie les rôles pour le grand écran, dans divers registres, poursuivant conjointement sa carrière théâtrale. En 1995, elle tourne dans Élisa de Jean Becker et dans L’Appât de Bertrand Tavernier. Suivront, entre autres, diverses collaborations avec Patrice Leconte (Les grands ducs), Jean-Loup Hubert (Marthe), Michel Spinosa (La Parenthèse enchantée), Michel Deville (Un monde presque paisible), Guillaume Canet (Mon idole) et Olivier Dahan (La Môme). Au théâtre, Clotilde Courau amorce sa carrière en 1988, dans L’Avare de Molière, mis en scène par Pierre Franck, avec Michel Bouquet. Elle se fera remarquer, par la suite, dans des œuvres d’Alfred de Musset, d’Heiner Müller, d’Oscar Wilde, de George-Bernard Shaw ou de Sacha Guitry.
L’actrice, qui poursuit aujourd’hui sa carrière en France, a successivement reçu le Prix de la Société des auteurs et compositeurs dramatiques (SACD), le Prix Suzanne-Bianchetti (jeune actrice la plus prometteuse), en mars 2000, le Prix Romy-Schneider (meilleur espoir féminin du cinéma français) et a été distinguée au rang de Chevalier des arts et des lettres.
Le CRÉA d’Aulnay-sous-Bois, une structure unique en France
Dirigé par Didier Grojsman, le CRÉA s’est fait connaître par la qualité et l’originalité du travail vocal et scénique mené auprès des jeunes à partir de 6 ans. Ni conservatoire ni école de spectacle, cette structure unique en France accueille, sans sélection ni audition et en dehors du temps scolaire, 150 jeunes et adultes pour une pratique du chant et des arts de la scène encadrée par des professionnels. Bien qu’étant une structure extérieure à l’Éducation nationale, les actions éducatives hebdomadaires menées auprès des 500 enfants des écoles de la ville d’Aulnay-sous-Bois illustrent l’engagement militant de la structure à offrir une éducation artistique d’excellence ouverte à tous.
Une philosophie d’éducation
Au-delà d’une pratique artistique de haut niveau, le projet du CRÉA s’inscrit dans une véritable philosophie d’éducation : une aventure collective et éducative formant des citoyens cultivés, aux oreilles intelligentes et à l’œil critique. Le chant est ainsi prétexte à une éducation globale : écoute, respect, exigence, maîtrise de soi, communication et partage. La pédagogie de Didier Grojsman a fait ses preuves et le CRÉA est aujourd’hui, plus qu’une expérience nationale reconnue, une référence incontournable dans son domaine.
51 créations d’opéras et spectacles de théâtre musical
Depuis plus de 20 ans, le CRÉA sollicite auteurs et compositeurs pour l’écriture d’opéras. Cette politique de commande s’accompagne d’un travail sur le patrimoine de la chanson française. A ce jour, 51 créations (dont 19 commandes d’opéras) ont été créées et jouées sur les scènes de nombreux opéras et théâtres en France.
Un référent en matière d’éducation artistique
Le CRÉA conduit, parallèlement tout au long de l’année, des projets susceptibles d’enrichir les pratiques des enseignants dans les écoles et les collèges. Par ailleurs, le CRÉA est sollicité pour l’encadrement de nombreuses formations en partenariat avec d’autres acteurs culturels au niveau national (institutions, opéras, théâtres, mairies, associations, écoles de musique, etc.).
Compagnie implantée à l’Espace Jacques-Prévert / Théâtre d’Aulnay- sous-Bois, le CRÉA est subventionné par La Ville d’Aulnay-sous-Bois, le Conseil Général de Seine-Saint-Denis, le Ministère de la Culture et de la Communication/DRAC Ile-de-France, le Conseil Régional d’Ile-de- France. La saison 2010/11 bénéficie du soutien de la Caisse des Dépôts, la Fondation Orange, la Banque Populaire Rives de Paris.
Remerciements à la Ville d’Aulnay-sous-Bois, Au Conservatoire à Rayonnement Départemental de Musique et de Danse dirigé par Mathieu Baboulène-Fossey et plus particulièrement à Jean- Philippe Allard et Patrick Rannou.
Aux enfants du Chœur, à leurs parents et tout particulièrement à Sandrine Mathey, Catherine Gérin, Sabine Olivier, Catherine Nibart, Valérie Kandissounon-Plougastel et Béatrice Louvet. La partie chantée des contes a été enregistrée au Conservatoire à Rayonnement Départemental de Musique et de Danse d’Aulnay-sous-Bois en Février 2009.
Ecouter Les Trois Petits Cochons chanté par Le Choeur des petits du CREA et lu par Clotilde Courau (livre audio) © Frémeaux & Associés Frémeaux & Associés est l'éditeur mondial de référence du patrimoine sonore musical, parlé, et biologique. Récompensés par plus de 800 distinctions dont le trés prestigieux "Grand Prix in honorem de l'Académie Charles Cros", les catalogues de Frémeaux & Associés ont pour objet de conserver et de mettre à la disposition du public une base muséographique universelle des enregistrements provenant de l'histoire phonographique et radiophonique. Ce fonds qui se refuse à tout déréférencement constitue notre mémoire collective. Le texte lu, l'archive ou le document sonore radiophonique, le disque littéraire ou livre audio, l'histoire racontée, le discours de l'homme politique ou le cours du philosophe, la lecture d'un texte par un comédien (livres audio) sont des disques parlés appartenant au concept de la librairie sonore. (frémeaux, frémaux, frémau, frémaud, frémault, frémo, frémont, fermeaux, fremeaux, fremaux, fremau, fremaud, fremault, fremo, fremont, CD audio, 78 tours, disques anciens, CD à acheter, écouter des vieux enregistrements, cours sur CD, entretiens à écouter, discours d'hommes politiques, livres audio, textes lus, disques parlés, théâtre sonore, création radiophonique, lectures historiques, audilivre, audiobook, audio book, livre parlant, livre-parlant, livre parlé, livre sonore, livre lu, livre-à-écouter, audio livre, audio-livre, lecture à voix haute, entretiens à haute voix, parole enregistrée, etc...). Les livres audio sont disponibles sous forme de CD chez les libraires et les disquaires, ainsi qu’en VPC. Enfin certains enregistrements de diction peuvent être écoutés par téléchargement auprès de sites de téléchargement légal.