ETNO-FONIA - JAZZ HOT CLUB ROMANIA

EMY DRAGOI

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Le projet Etno-Fonia d’Emy Dragoï plonge ses racines dans le patrimoine des musiques folkloriques roumaines qu’il réinterprète dans le langage du jazz – entouré d’une formation quasi symphonique. La réunion de ces cultures populaires et savantes produit un cocktail d’explosivité balkanique, qui rappelle avec force l’exubérance des films de Kusturica, la virtuosité des musiques tziganes et le lyrisme du jazz.  Une réécriture pleine de talent et de vitalité du patrimoine des musiques traditionnelles dans une facture étonnamment moderne.
Benjamin Goldenstein & Patrick Frémeaux

Droits audio : Label la Lichère, un label de Frémeaux & Associés - Groupe Frémeaux Colombini SAS
Jazz Hot Club Romania

Jazz Hot Club Romania
EMY DRAGOÏ – ETNO-FONIA








Emy DRAGOÏ & Le Hot-Club de Romania : Etno – Fonia
Le projet d’ethno-phonie proposé par Emy Dragoï plonge ses racines dans le patrimoine des musiques folkloriques roumaines qu’il métisse d’accents jazz – avec une formation quasi symphonique. La réunion de ces cultures populaires et savantes produit un cocktail d’explosivité balkanique, qui rappelle avec force l’exubérance des films de Kusturica, la virtuosité des musiques tziganes et le lyrisme du jazz. Des morceaux de cette création « ethno-phonique » ont été joués en avant-première devant le public de Bucarest pour l’édition inaugurale du festival international d’accordéon de Roumanie :  « Nuits Blanches d’Accordéon » - un autre projet qui porte la signature d’Emy Dragoï.

Emy est né à Slanic, en Roumanie, le 10 août 1976. Il étudie l’accordéon et se passionne très tôt pour le folklore roumain dont il apprend toute la richesse. Il quitte son pays natal à l’âge de 20 ans pour la France, où il vit depuis. Emy intègre tout d’abord l’orchestre de Philippe Lebel, à Tours, puis suit les cours de l’école de jazz Bill Evans de Paris, dans la section piano. Parallèlement, il continue à raffiner sa technique à l’accordéon, dont il découvre la richesse et les apports que l’instrument peut faire au Jazz. Entre 1997 et 2007, Emy Dragoï participe à de nombreux festivals internationaux de jazz ou il joue avec des accordéonistes fameux comme Marcel Azzola, Daniel Colin, Armand Lasagne, Jean Corti, Richard Galliano, etc. Il collabore également avec les plus grands noms du jazz manouche tels Tchavolo Schmitt, Christophe Lartilleux, Doudou Cuillerier, Bruno Ziarelli, Costel Nitescu, Florin Niculescu, etc.

Emy enregistre un premier album en décembre 2000 avec le pianiste Antoine Hervier dans un style qui combine classique et jazz (Accordéon Steeple - Declick Productions). En mai 2004 c’est avec ses compagnons du Swing manouche qu’il fait paraître La Ballade pour Claudia (Fuzzion Records), dédié à sa femme. Suite à ce disque, avec Doudou Cuillerier ainsi que Christophe Lartilleux en invité, Emy Dragoï et son accordéon sont sollicité par de nombreuses formations pour des représentations dans toute l’Europe. Le projet Etno Fonia reprend des thèmes musicaux d’anciens ménétriers roumains (les « lautari ») auxquels sont inoculés des rythmes modernes : boléro (« De unde vii tu, mai lele », « Blestemat sa fii de stele ») ; café-concert (« Hora Martisorului », ou Emy Dragoï propose une relecture personnelle des compositions du musicien roumain Grigoras Dinicu)… Les dialogues des instruments mettent en évidence les sons du cymbalum et du piano dans une ambiance classique suscitée par un quartet de violons. D’autres morceaux revisitent des thèmes classiques du folklore roumain, comme « Sanie cu zurgalai », « Mocirita », « Pe deal pe la Cornatel » ou le fameux «Ciocirlia». Ici, Emy Dragoï opère une fusion avec des sons latino, blues et reggae. Divinement hybride « Barbu Lautaru » porté par un chœur vocal alors que l’accordéon entre en dialogue avec une cornemuse créant une sonorité médiéval-jazz dans laquelle le piano de Petrica Andrei syncope à merveille pour rappeler l’incomparable fertilité des métissages inattendus ! Cette synthèse festive de tradition et de modernité fait de cet ensemble un véritable Hot-Club de Romania original, formation à géométrie variable à la tête duquel Emy Dragoï peut affirmer, dans un clin d’œil à la mythique formation de Django Reinhardt, la créativité et la virtuosité de son jeu.

Les pièces « Etno Fonia », « Nostalgie », « Bohemian swing » sont des compositions originales d’Emy Dragoï. La musique de Banat (à l’ouest de la Roumanie) se mêle au tango argentin comme la musique des ménétriers roumains avec le jazz manouche. Pour « Bohemian swing » il est accompagné par les musiciens français Christophe Lartilleux (guitare solo), Doudou Cuillerier (guitare d’accompagnement), Jean Welers (guitare basse) et Claudiu Cioc (cym­balum). Ce vaste et ambitieux projet Etno-Fonia implique nombre de musiciens roumains réputés qui forment le Hot-Club de Romania à géométrie variable d’Emy Dragoï. A commencer par le grand pianiste Petrica Andrei (excellent improvisateur et soliste d’une grande créativité), le quartet de violons ”Ionut Pandelescu”, Cezar Cazanoi à la flûte et à la cornemuse ; Claudiu Cioc et Costi Lakatus au cymbalum (« Pe deal pe la Cornatel »), le percussionniste Albert Gheorghe, Laurentiu Horja à la basse et Kyba (qui prend sa place sur « Hora martisorului »). Pour le morceau « Blestemat sa fii de stele », Emy Dragoï a invité une voix consacrée de la musique roumaine, Marcel Pavel, grand ténor ici soutenu avec sensibilité par Diana Dragoi (diplômée de l’Ecole d’Arts de Ploiesti, dans la section canto classique).

La voix de Raluca Dragoi (IIème prix du festival de Mamaia 2003 – section interprétation, ex-soliste du Théâtre Toma Caragiu de Ploiesti) apporte les couleurs jazz qui caractérise l’étonnant « Pe deal pe la Cornatel ». On notera aussi un invité de marque dans les titres « Etno-Fonia » et « Hora martisorului » en la personne de Marius Preda : son cymbalum et l’accordéon d’Emy Dragoï s’y délectent et entame un discours fiévreux et sensible, qui rappelle au public occidental l’étrange fascination qu’exerce sur lui les musiciens d’Europe de l’Est. Le projet Etno – Fonia du Hot-Club de Romania d’Emy Dragoï (qui dédie ce disque à sa fille, Bianca) a déjà une déclinaison scénique qui propose au grand public une fusion de styles et de rythmes au service d’une musique inédite et à nulle autre pareille - qui démontre une nouvelle fois son universalité et la complémentarité des cultures du monde entier.
Benjamin Goldenstein
© 2007 Frémeaux & Associés


Notes en roumain
Proiectul etno – fonie  poropus î?i are r?d?cinile în patrimoniul crea?iilor muzicale române?ti pe care le combin? cu accente de jazz – împreun? cu o forma?ie simfonic?.Îmbinarea acestor culturi populare ?i savante produce un amestec de explozibilitate balcanic? ,ce aminte?te foarte mult de filmele lui Kusturika, de virtuozitatea muzicii  ?ig?ne?ti ?i de lirismul jazului. Fragmente din aceast?  crea?ie ‘etno – fonic? ‘ s-au cântat în avampremier? în fata publicului din Bucure?ti pentru edi?ia inaugural? a festivalului interna?ional de acordeon  din Romania « Nopti Albe de Acordeon », un alt proiect ce poarta semn?tura lui Emy Dragoï. 

Emy Dragoï s-a  nascut la Sl?nic în data de 10 august 1976. A studiat acordeonul ?i a fost pasionat de timpuriu de folclorul românesc a c?rei valoare o descoper? în întregime. Par?se?te ?ara la vârstra de 20  ani pentru a merge in Franta, unde tr?ieste ?i în prezent. Emy intr? în orchestra lui Philippe Lebel la Tours, apoi urmeaz? cursurile scolii de jazz de jazz BILL EVANS din Paris, la sec?ia pian. Ïn paralel cu aceste cursuri, continu? s? î?i perfec?ioneze  tehnica de a cânta la acordeon, a c?rei valoare o descoper? al?turi de contribu?iile pe care le poate aduce acest instrument muzicii de jazz.

Ïn perioada 1997 – 2007 Emy Dragoï particip?  la numeroase festivaluri  internationale de Jazz,unde cânt?  al?turi  acordioni?ti  faimi?i precum   Marcel Azzola,Daniel Colin,Armand Lasagne, Jean Corti ,Richard Galliano,etc. Colaboreaza de asemenea cu virtuo?ii jazz-ului, precum: Christophe Lartileux, Tchavolo Schmitt, Rodolphe Raffalli, Doudou Cuillerier, Bruno Ziarelli, Costel Nitescu, Frorin Niculescu, Antoain Hervie, etc. Emy  înregistreaz?  în decembrie 2000 cu pianistul  Antoain Hervier, intr-un stil ce combin? muzica clasic?  ?i jazz-ului (intitulat Accordéon Steeple –Declik Productions). Ïn mai 2004 , împreun?  cu colegii s?i din orchestra Swing , compun albumul “Balad? pentru Claudia”- (Fuzzion Records).

Ca urmare a apari?iei acestui album, Emy Dragoï  ?i  acordeonul  s?u, împreun? cu Doudou Cuillerier, precum  ?i Christophe Lartilleux care este invitat, sunt solicita?i de numeroase forma?ii pentru spectacole în întreaga Europ?. Proiectul  Etno Fonia reia temele muzicale ale l?utarilor români de odinioar?, c?rora li s-au trasmis ritmurile moderne : boléro (« De unde vi tu mai lele », « Blestemat sa fi de stele »); muzic? de  café concert (”Hora Martisorului” sau Emy Dragoï propune o nou? interpretare personal? a compozi?iilor muzicianului român Grigora? Dinicu),unde dialogurile instrumentelor pun în valoare sunetele ?ambalului si ale pianului, într-o ambian?? clasic? suscitat? de un cvartet de vioare. Alte piese reiau temele clasice ale folclorului românesc, precum « Sanie cu zurgalai », « Mocirita », « Pe deal pe la Cornatel » , sau faimoasa pies? « Ciocârlia » . Ïn aceste piese , Emy Dragoï realizeaz?  o fuziune între stilurile latino, blues ?i reggae . Divinul hibrid « Barbu  lautaru » cântat de un cor vocal în timp ce acordeonul intr? în dialog cu un cimpoi, creând o sonoritate de jazz medieval  în care pianul lui Petrica Andrei se une?te  printr-o sincop? minunat? ce aminte?te de incomparabila fertilitate  a amestecului nea?teptat de culturi muzicale! Aceast? sintez?  somptuoas? a tradi?iei  ?i modernit??ii face din acest ansamblu un adev?rat Hot-Club al României, forma?ie cu configura?ie valabil? în fruntea c?ruia Emy Dragoï se poate afirma într-o clip?, precum forma?ia legendar? a lui Django Reinhardt, ar?tând creativitatea ?i virtuozitatea interpret?rii sale.

Piesele  «Etno-fonia», « Nostalgi gytan », « Bohemian swing », sunt compozi?iile originale ale lui Emy Dragoï . Muzica din Banat (regiunea din vestul României) se combin? cu  tangoul argentinian, a?a cum  muzica l?utarilor români se combina cu jazz-ul. Pentru piesa « Bohemian swing »,este acompaniat de muzicienii francezi Christophe Lartileux (chitar? solo), Doudou Cuillerier chitar? acompaniament ?i Jean Welers (chitar? bass ). Acest proiect vast ?i ambi?ios Etno-Fonia implic? ?i un num?r de muzicieni români faimo?i ce formeaz? Hot-Club din România cu configura?ia a lui Emy Dragoï. Ïncepând cu marele pianist Petrica Andrei  ( un excep?ional improvizator  ?i solist ce d? dovad? de mult? creativitate), cvartet viori”Ionut Pandelescu”,flaut si cimpoi Cezar Caz?noi; ?ambal Claudiu Cioc,si Costi Lakatus (Pe deal pe la Cornatel) ,sectia ritmica percuti Albert Gheorghe, bass Laurentiu Horja, si Kyba (care are locul s?u la “Hora Martisorului”).

Pentru piesa “Blestemat sa fii de stele”, Emy Dragoï a ivitat o voce consacrat? muzicii române?ti, Marcel Pavel ,un mare  tenor, acompaniat cu sensibilitate de Diana Dragoi(baching) ,(licen?iat? a Scolii de arte din Ploie?ti,la sec?ia canto muzic? clasic?). Vocea  Raluc?i Dragoi,(care a ob?inut premiul II la festivalul de la Mamaia 2003  sectiunea interpretare, fosta solist? a Teatrului Toma Caragiu din Ploiesti) aduce nuan?ele jazz-lui ce caracterizeaz? minunata pies? « Pe deal pe la Cornatel ». Vom remarca de asemenea un invitat de seam? pentru piesele “Etno- Fonia” si “Hora Mar?i?orului” în persoana lui Marius Preda: ?ambalul s?u ?i acordeonul lui Emy Dragoï încânt? ?i ini?iaz? în acela?i timp un discurs entuziast  ?i sensibil, ce aminte?te  publicului occidental de fascina?ia stranie ce îi înv?luie pe muzicienii din Europa de Est.

Proiectul Etno- Fonia al Hot – Club România al lui Emy Dragoï are deja o declina?ie de scen? ce propune marelui public o fuziune a stilurilor ?i ritmurilor pentru a ob?ine un stil inedit ?i nemaiîntâlnit – care demostreaz? înc? o dat? universalitatea ?i complementaritatea culorilor din întreaga lume.

CD Jazz Hot Club Romania, EMY DRAGOÏ – ETNO-FONIA © Frémeaux & Associés




EcoutezPisteTitre / Artiste(s)Durée
01 Hora Martisorului - Emy03'04
02 Etno Fonia - Emy07'54
03 Barbu Lautaru - Emy08'21
04 Mocirita - Emy05'04
05 Bohemian Swing - Emy04'50
06 Blestemat Sa Fi De Stele - Emy05'07
07 Foie Verde Trei Smicele - Emy05'43
08 Pe Deal Pe La Cornatel - Emy03'56
09 Nostalgi Gytan - Emy05'26
10 Sanie Cu Zurgalai - Emy03'10
11 Zborul Carabusului - Emy05'06
"E. Dragoï est toujours éblouissant dans ses interventions" par Etudes Tziganes

Né en Roumanie en 1976 et arrivé en France à l'âge de 20 ans, l'accordéoniste Emy Dragoï est de plus en plus sollicité. Parallèlement à ses prestations au sein de formations allant du trio au quintette, il officie au sein du Latcho Drom de Christophe Lartilleux et du Doudou swing de Philippe Cuillerier, deux musiciens que l'on retrouve sur " Bohemian swing ", composition enlevée (ça déménage !) d'E. Dragoï, l'un des morceaux que je préfère. Pour son 3ème disque en leader, il s'est lancé dans une démarche originale et ambitieuse. Entouré d'une formation élargie (piano, basse, flûte, percussions, cymbalum, quartet de violons, voix...) il modernise le répertoire traditionnel roumain en le fusionnant avec le jazz et le classique : présence des voix et des chœurs, travail sur les orchestrations et les timbres, gros travail d'écriture et d'arrangement (cf. la Hora de Dinicu qui ouvre le disque ou ses étonnantes relectures de " Johnny tu n'es pas un ange " et de " l'Alouette "). Il développe aussi cette esthétique dans ses 3 compositions personnelles (cf. " Etno-Fonia " ou le très réussi " Nostalgi gytan "). Même si la mayonnaise ne prend pas toujours, notamment lorsqu'il abuse de nappes de synthé, E. Dragoï est toujours éblouissant dans ses interventions : virtuosité, tempo déraisonnables, exubérance instrumentale... dans la lignée des grands accordéonistes roumains comme Victor Gore, Vasile Pandelescu, Marcel Budala ou Ionica Minune. Emy " Milliards de notes " Dragoï est un vrai musicien et sa fusion inédite est à découvrir !" par Francis Couvreux - ETUDES TZIGANES




"Un très beau projet, parfaitement maîtrisé" par Citizenjazz

"Etno-Fonia est l’occasion rêvée de découvrir le mariage réussi des racines et de la modernité : l’accordéoniste Emy Dragoï y déambule entre morceaux traditionnels roumains et compositions personnelles, soutenu par une bonne dizaine de musiciens dont un quartet de violonistes. Le mélange des styles (tango, boléro, manouche, tzigane...) ainsi que des sonorités (le cymbalum côtoie la basse électrique) rend l’ensemble intemporel et très original : grâce à ses arrangements, Dragoï réussit le tour de force de créer de l’inédit avec un matériau séculaire. Un très beau projet, parfaitement maîtrisé." Arnaud Stefani - CITIZEN JAZZ




« Une musique très originale » par Jazz Classique

Emy Dragoï est un jeune accordéoniste d’origine roumaine et de grand talent, qui vit en France depuis longtemps. Il réalise un disque aux influences multiples, remarquablement interprété, puisant sa source principale dans le fonds musical roumain. Une musique très originale, une « fusion de styles et de rythmes » ainsi que le résume très bien le livret.
Dominique PÉRICHON – JAZZ CLASSIQUE




« Explosif et beau » par Jazz Hot

Un accordéon-clavier et un cymbalum comme pièces maîtresses d’un orchestre de jazz fusion, ça peut paraître curieux. On est intrigué, mais comme il y a la virtuosité tsigane derrière et la fougue des musiques folkloriques roumaines comme inspiration, on passe tout de suite à l’intérêt, puis à l’admiration. J’ai employé le concept de jazz fusion, malgré toutes les ambiguïtés qu’il comporte, car s’il s’agit d’un traitement jazz de musiques presque symphoniques (chœur, violons ou autres). On voit le salmigondis à la Kusturica que cela peut donner. Un salmigondis explosif et beau. C’est aussi une des caractéristiques de ce CD. Il est toujours beau.  Parfois, ça sonne comme du Richard Galliano (« Etno-Fonia »), parfois comme du Borodine même de musica antiqua (« Barbu Lautaru »). Il y a aussi du swing manouche Mittel-Europa (Bohemian Swing, avec Doudou Cuillérier et Christophe Lartilleux), aussi bien que de la fanfare balkanique. Raluca Dragoi chante et on est transporté chez une Melina Mercouri roumaine. On y apprend que « Sanie cu zurgalai », c’est « Johnny tu n’es pas un ange » et « Zborul carabusului » le « Vol du bourdon ». Le Korsakov romain en est tout retourné. Bref, à défaut d’être du jazz, c’est cataclysmique et ça, c’est cadeau. Michel BEDIN – JAZZ HOT




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