TZIGANES

PARIS - BERLIN - BUDAPEST / 1910-1935

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Livret : 16 PAGES - ENGLISH NOTES
Nombre de CDs : 2


29,99 € TTC

FA006

En Stock . Expédition prévue sous 24 à 72h selon week-end

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"... Ces airs hongrois très originaux, joués par des musiciens bohémiens, qui font perdre la tête aux gens du pays. Cela commence par quelque chose de très lugubre et finit par une gaieté folle qui gagne l'auditoire, lequel trépigne, casse les verres et danse sur les tables."
Prosper Mérimée

Toute la magie musicale des cabarets tziganes de l’entre-deux-guerres avec les enregistrements historiques des légendaires virtuoses du genre. Ce panorama de l'histoire de la musique Tzigane en 2 CD avec un livret réalisé par Alain Antonietto est devenu en 10 ans l'anthologie de référence !
Patrick Frémeaux

'Cette compilation d’une qualité et d’un intérêt exceptionnels rétablit des vérités : trente-six titres ressuscités du 78-tours d’avant guerre, dans une restauration impeccable, d’une quinzaine de formations tziganes d’Allemagne, de France et de Hongrie. Dans les atours de son époque (par essence, la musique tzigane est plastique, oppportuniste, sensible aux engouements du temps), cette musique retrouve une vérité troublante. L’élan virtuose, la syncope nostalgique, le lent glissement attristé de l’archet transportent et enchantent. Pour se réconcilier définitivement avec Jalousie, “tango tzigane”.'
Bertrand Dicale, Le Figaro

Droits audio : Groupe Frémeaux Colombini SAS

Les ouvrages sonores de Frémeaux & Associés sont produits par les meilleurs spécialistes, bénéficient d’une restauration analogique et numérique reconnue dans le monde entier, font l’objet d’un livret explicatif en langue française et d’un certificat de garantie. La marque Frémeaux & Associés a obtenu plus de 800 distinctions pour son travail muséographique de sauvegarde et de diffusion du patrimoine sonore.

This album, issued by the world-famous publishers, Frémeaux & Associés, has been restored using the latest technological methods. An explanatory booklet of liner notes in English and a guarantee are included.

EcoutezPisteTitre / Artiste(s)Durée
CD 1
01 CIOCIRLIA - DINICU ET SON ORCH.02'48
02 DOINA OLTULUI - DINICU ET SON ORCH.02'51
03 HORA - DINICU ET SON ORCH.02'44
04 HORA STACCATO - DINICU ET SON ORCH.02'49
05 IMPROVISATIONS SUR UN THEME POPULAIRE TZIGANE - ORCH TZIGANE BERENY03'13
06 CYMBALUM CZARDAS - ORCH TZIGANE BERENY02'54
07 LE COUCOU - GULESCO ET SON ORCHESTRE TZIGANE03'03
08 STENKA RAZIN ET LA PRINCESSE - GULESCO ET SON ORCHESTRE TZIGANE02'51
09 CHANTS POPULAIRES HONGROIS - GULESCO ET SON ORCHESTRE TZIGANE03'13
10 CHANTS POPULAIRES ROUMAINS - GULESCO ET SON ORCHESTRE TZIGANE03'31
11 KETSZER NYILIK AZ AKACIA VIRAGA NINCSEN WHNY TENGER CSILLAG AZ EGEN - MAGYARI IMRE & SON ORCHESTRE TZIGANE02'44
12 IL N Y A QU UNE FILLE AU MONDE - MAGYARI IMRE & SON ORCHESTRE TZIGANE03'02
13 LEMONDAS ELTOROTT A HEGEDUM - MAGYARI IMRE & SON ORCHESTRE TZIGANE03'06
14 LES YEUX NOIRS - BOULANGER & SON ORCH.02'58
15 ZIGEUNER LIED - BOULANGER & SON ORCH.02'48
16 KOMM ZIGAN - BOULANGER & SON ORCH.02'46
17 AVANT DE MOURIR - BOULANGER & SON ORCH.02'54
18 SOMBRE DIMANCHE - BOULANGER & SON ORCH.02'40
CD 2
01 VALSE MOOV - BERKES02'41
02 CASINO CZARDAS - MATHE ET SES 32 JUVENILS03'02
03 LA VALSE OUBLIEE - MARIN ET SON ORCH, ROU03'16
04 JALOUSIE - PETROFF03'29
05 VALSE HONGROISE - RETHY ET SON ORCHESTRE HONGROIS03'12
06 CZARDAS HONGROISE - RETHY ET SON ORCHESTRE HONGROIS02'36
07 CZARDAS - LA KAZANOVA ET SES TZIGANES03'28
08 INFOCATA - LA KAZANOVA ET SES TZIGANES03'04
09 ROMANCE ET DOINA - LA KAZANOVA ET SES TZIGANES03'24
10 LES E GUITARES - GULESCO ET SON ORCHESTRE TZIGANE03'10
11 TITANIA - LAJOS & SON ORCH, TZIGANE03'13
12 LA COMTESSE MARITZA - LAJOS & SON ORCH, TZIGANE03'04
13 LA PRINCESSE CZARDAS - LAJOS & SON ORCH, TZIGANE02'58
14 A LA PROMENADE - ORCH TZIGANE HONGROIS02'48
15 NUAGES - ORCH TZIGANE HONGROIS02'25
16 FLIRTS SANS IMPORTANCE - ORCH TZIGANE HONGROIS03'03
17 DANSE DU TALON - ORCH TZIGANE HONGROIS03'07
18 VALSE D AMOUR - ORCH TZIGANE HONGROIS02'41
"Tziganes" par Le Figaro

“Personne ne peut prétendre ne pas aimer la musique tzigane, ses déchirements, ses pleurs de violon et ses fringantes envolées. Mais voilà : sa décadence exaspère (les musiciens des restaurants russes, les bandes-son de publicités...). Cette compilation d’une qualité et d’un intérêt exceptionnels rétablit des vérités : trente-six titres ressuscités du 78-tours d’avant guerre, dans une restauration impeccable, d’une quinzaine de formations tziganes d’Allemagne, de France et de Hongrie. Dans les atours de son époque (par essence, la musique tzigane est plastique, opportuniste, sensible aux engouements du temps), cette musique retrouve une vérité troublante. L’élan virtuose, la syncope nostalgique, le lent glissement attristé de l’archet transportent et enchantent. Pour se réconcilier définitivement avec Jalousie, « tango tzigane ».” B. DICALE, LE FIGARO




« Musique bouleversante » par Le Monde de la Musique

Le travail de compilation de ces faces commercialisées entre 1910 et 1935 est un curieux retour de l’histoire qui réactualise soudain l’intérêt que Liszt, en écho à ses prédécesseurs romantiques et préromantiques, portait à la musique des musiciens professionnels tziganes. Le livret de vingt et une pages montre combien les influences étaient baladeuses entre musiques savantes, musiques de divertissement et traditions populaires, autrement dit entre la cour, la ville et les campagnes, avec pour vecteur les musiciens tziganes, leur incroyable virtuosité et leur sens de la variation. Le texte d’Alain Antonietto, animateur des Etudes tziganes, est passionnant, bourré de mille anecdotes au fil desquelles on se perd un peu mais avec un bonheur constant.
Quant à la musique, elle est bouleversante. Chaliapine, Picasso et Jascha Heifetz comptaient au nombre des plus chauds admirateurs du violoniste Jean Gulesco, et Grigoras Dinicu passionna Pablo Casals, Jaques Thibaud et Yehudi Menuhin. Certes, on est souvent plus près du music hall ou des salons viennois que des fêtes villageoises hongroises, mais du texte à la musique il y a là un témoignage capital sur les musiques d’Europe centrale.
Frank BERGEROT – LE MONDE DE LA MUSIQUE




« Érudit et passionnant » par Études Tsiganes

Après les deux magnifiques coffrets Accordéon amorçant une volonté de reconnaissance, de préservation et de diffusion de tous les patrimoines sonores, Patrick Frémeaux confirme cette orientation en nous proposant cette fois une anthologie des musiques tsiganes de cabaret de 1910 à 1935 : csardas hongroises, horas roumaines, folklore russe, valses viennoises ou pièces de caractères, jouées ici par les grandes figures tsiganes de notre siècle. Les textes et la sélection des titres ont été confiés à Alain Antonietto, spécialiste incontesté et infatigable défenseur des musiques tsiganes, assisté ici de Dominique Cravic, guitariste et grand collectionneur lui aussi.
La musique tsigane s’avère être principalement une école de violon. Ce sont les grands primàs (associant virtuosité prodigieuse et style sensuel au lyrisme appuyé) qui feront la renommée des cabarets tsiganes des capitales européennes jusqu’à la fin des années 30 : Bela Berkès, Jean Gulesco, Georges Boulanger, Imre Magyari… le répertoire extrêmement hétérogène joue souvent la carte de la séduction, romances langoureuses, morceaux à la mode, l’impératif commercial nécessitant de plaire dans les cabarets, au détriment parfois de la profondeur des traditions musicales mais comme toujours avec les Tsiganes, la moindre rengaine trouve matière à défis et à créativités. Si elle a pu être considérée avec dédain comme « musique de restaurant » cette musique témoigne en fait d’une richesse exceptionnelle. Elle met en lumière le génie musical de nombre de grands solistes : Jean Gulesco et son talent d’improvisateur (quatre titres ici dont le fameux « Coucou »), Nitza Codolban « le plus grand cymbaleur tsigane du monde », Georges Boulanger alliant technique et élégance (cinq titres dont les somptueux « Avant de mourir » et « Sombre dimanche »), Grigoras Dinicu autre génie du violon (quatre titres dont l’incontournable « Alouette »), Kiss Lajos (« Les 2 guitares »)…
Réédition majeur d’un genre trop méconnu, d’enregistrements anciens devenus introuvables depuis longtemps, dépoussiérés ici avec intelligence c'est-à-dire sans compromettre la fidélité aux enregistrements originaux de cette musique. A signaler un livret de 20 pages, érudit et passionnant, écrit par Alain Antonietto qui suit à la trace la naissance et l’évolution complexe de cette musique, en la restituant dans son contexte historique et sociologique, montrant notamment son rôle dans la naissance du mythe romantique du bohémien. Ces analyses prolongent les brillantes pages parues en 1986 dans la revue « Etudes Tsiganes ».
Nous retrouvons ici avec bonheur la magie musicale des cabarets tsiganes de l’entre-deux guerres, l’ambiance d’un monde nocturne disparu, si bien célébré par Joseph Kessel dans « Nuits de Princes ». Indispensable !        
Françis COUVREUX – ÉTUDES TSIGANES




« Voici de précieux documents » par Centre Presse

Aujourd’hui, la chute du Mur de Berlin et la vogue de la « World Music » nous font redécouvrir les violons tziganes parmi les traditions d’Europe centrale… Mais une fois encore, nous ne faisons que redécouvrir une mode passée. Au début du siècle (de nombreuses séquences de cinéma en témoignent), ce style de musique pseudo-hongrois animait les restaurants chics du monde entier.
Certains de ces musiciens étaient « quand même » d’origine tzigane ou slave, et créaient à l’Ouest de véritables clans, dynasties ou écoles de violonistes virtuoses. Alors, puisque le mythe romantique du violoniste tzigane revient en force de nos jours, voici de précieux documents pour comprendre l’ancienneté du phénomène, à la fois sublime et kitsch depuis le commencement !
CENTRE PRESSE, LE COURRIER DE L’OUEST, PRESSE OCÉAN, LE MAINE LIBRE, LA LIBERTÉ DU MORBIHAN, L’ECLAIR




« Quel virtuose classique pourrait se vanter d’une telle facilité » par Télérama

L’anthologie de 78 tours des Tziganes de cabarets contient des perles, et des choses très décevantes : George Boulanger, entre autres, compositeur très réputé mais dont la musique, entièrement soumise aux exigences de la bonne société, est proprement pompière. Pour le reste, il s’agit de musiciens et d’ensembles légendaires mais devenus introuvables, les derniers représentants de dynasties de musiciens adulés par les rois, les empereur, tous nos compositeurs et nos virtuoses, et les Parisiens. Les archets de Grigoras Dinicu et de la Kazanova sont diaboliques, leur aisance technique, vraiment étonnante. Quel virtuose classique pourrait se vanter d’une telle facilité, semblant aussi naturelle ? Il faut noter aussi le livret d’Alain Antonietto, qui vaut à lui seul l’achat du coffret : vingt pages serrées d’intelligence et de passion.
Alain SWIETLIK – TÉLÉRAMA




« Deux heures de musique qui quittent leur étiquette d’ ‘Introuvable’ » par Trad Magazine

Heureuse initiative que celle de relever les talents de quelques uns des anciens maîtres du genre : on retrouve ici quelques pièces rares d’un puzzle musical (probablement impossible à reconstituer intégralement) qui éclaire sur l’art et la manière d’une époque récente et pourtant très éloignée de notre quotidien. La valeur de ces documents n’en est que plus grande, bien qu’on aurait tort de les considérer comme incontournables. Le propre de ce genre musical, appelé ici musique tzigane avec un Z, « comme une arabesque fougueuse de l’archet… » (on a frôlé de près la référence à Zorro) est d’être en perpétuelle transformation et dans une étroite dépendance avec le cadre de prestation ; précisions que le cadre est ici celui des salons et des milieux mondains, contexte déterminant dans le choix de la formation orchestrale (du type orchestre de chambre qui s’adjoint le cymbalum) et des critères d’interprétation (ligne mélodique confiée au violon et dans un sens du phrasé des plus démonstratifs). Tout ceci s’accorde particulièrement bien au répertoire tzigane-hongrois qui a depuis longtemps développé son identité sur de telles caractéristiques, le succès de la formule a également poussé à annexer des répertoires qui trouvaient leur sens dans des traitements tous différents, ceci vaut en particulier pour le répertoire russe (valses, romances…) où les pièces perdent alors de cette vérité qui se livre dans des interprétations vocales avec une orchestration bien plus dépouillée ; la grandiloquence se montre souvent mal appropriée à l’expression de sentiments que le souffle seul fait vivre ; aussi certains titres perdent ici un peu de leur âme, ces quelques remarques n’empêchent d’ailleurs pas de goûter pleinement les pièces de références telles que « Ciocirlia » (l’alouette) par Dinicu, débarrassée des complaisances de premier degré, ainsi que sa composition « Hora Staccato » d’une rare finesse d’archet, « il n’y a qu’une fille au monde » par Imre Magyari, pièce reprise par Sarasate dans ses « airs bohémiens » donnés ici avec un phrasé étonnant et l’appui d’un « bratsch » qui par son placement de contretemps est révélateur d’une part de l’art de la musique hongroise, « Avant de mourir » de et par Georges Boulanger, titre mentionné par le capitaine Haddock (!) dans « On a marché sur la lune », c’est dire la renommée sans frontière. On l’aura compris, bien d’autres morceaux pourraient encore être cités. Au total deux heures de musique qui quittent leur étiquette d’ »Introuvable » et laissent espérer que l’éditeur et les découvreurs passionnés ne s’en tiendront pas là et continueront leurs investigations pour notre plus grand plaisir.
Jean-Patrick HÉLARD – TRAD MAGAZINE




« Un amoureux consacre sa vie à suivre les sillons et sillages de ce peuples fantasques » L’Affiche

« World music » est au vocabulaire musical ce que truc ou bidule sont à la langue française (et encore, je ne suis pas xénophobe !). Tout est « world music » sinon même « dance music » et voilà précisément ce qui va me servir. Je vais en profiter pour faire passer au catalogue de la « world » des choses ou des, disons, créatures (ça c’est précis mais je n’ai pas pu trouver plus vague et moins désuet, c’est mon travers) comme les Tziganes (Frémeaux Associés), Pola Negri (Chansonphone/Mélodie), Marlène Dietrich (Chansonphone/ Mélodie) ou Zara Leander (Chansonphone/Mélodie).
Ainsi le recueil « Accordéon » de deux coffrets CD avait définitivement consacré l’entrée du musette pas enore traditionnel (mot condamné à la déchéance) et pas vraiment ethnique (du moins de notre point de vue ethnocentriste) dans le monde de la world. On y croisait déjà le jazz (le swing musette des années trente et quarante) et par conséquent quelques gitans et manouches. Or les revoici, les Tziganes, dans un double coffret CD à la pochette expressionniste où une brune dompteuse d’orchestre (la Kasanova !) moulée dans une robe du soir en satin noir cravache de son archet une de ces formations bohémiennes qui grisaient les noctambules dans les années trente. Le captivant livret d’un amoureux qui consacre sa vie à suivre les sillons et sillages de ce peuples fantasque entre Paris, Berlin, Vienne ou Budapest ressuscite le fabuleux engouement pour les beaux Tziganes aux moustaches cirées et conquérantes qui dans les noces villageoises ou les palaces, ont électrisé des générations d’auditeurs.    
Restons dans cette ambiance très MittelEuropa (l’actualité y est toujours brûlante) avec ses stars internationales et donc toujours exotiques. Pola Negri, ressortissante polonaise d’un cinéma muet forcément polyglotte et sans frontières (Berlin puis Hollywood) redevint européenne avec le parlant pour quelques saisons dangereuses (Londres et Paris puis Vienne et Berlin entre 33 et 41), interprète altière et vibrante de « Paradise » (une des plus belles valses lentes de tous les temps), contralto russe d’un chœur très cabaret néo-raspoutinien puis crooneuse vénéneuse des productions UFA sous la baguette de Hans-Otto Borgman, très zélé orchestrateur des fastes swing du IIIe Reich. Pola Begri, si vous l’écoutez trop, vous ferait facilement croire que la vamp et le cosmopolitisme ont été inventés par elle.
Mais déjà voici venir Marlène qu’on ne présente plus sinon pour signaler que son étoile se lève à l’heure où celle de Pola Negri décline et qu’elle suit la trajectoire inverse. Elle se sont toutefois croisées (l’ont-elles su ?) à Paris en cet été 33 où Marlène enregistre pour le jeune Jacques Canetti, dont ce furent les débuts professionnels, une fort belle séance jazzy avec, entre autre, Arthur Briggs et Peter Kreuder, compositeur allemand qu’interprètent aussi Pola et Zarah. Pola qui dans ces mêmes jours grave « Paradis » et « Mes Nuits Sont Mortes » avant de céder aux offres de Goebbels que la Marlène vient, elle, de dédaigner.
Quant à la grande Zarah, mi-Garbo, mi-Marlène suédoise, qui aura été, plus encore que Pola, l’un des plus sûrs atouts du prestige occupant et préoccupant des années 37/43, elle apparaît, étrangement, entre fox-trot suédois ou russifiants et blues allemands avec des liqueurs viennoises, quelques pincées de tziganeries et une bouffée de havanais comme l’incarnation marmoréenne et troublante d’un métissage musical à l’heure aryenne. Une sacrée bonne femme et au moins une sacrée belle chanson : « J’attends sans trève » (« Ich steh im Regen » du film « Zu neuen Ufern » - Parematte bagne de femmes). World music ? Après tout, si ça peut vous faire plaisir…
Mister MAMBO – L’AFFICHE




« Romances tziganes » par Figaro Magazine

Si vous avez aimé Latcho drom, le film de Tony Gatlif, découvrez un autre aspect souvent dénigré de la musique des « gens du voyage » : celle des orchestres tsiganes. Valses, mazurkas et czardas, de plus en plus teintées de jazz, faisaient rêver toute l’Europe au temps où ses frontières n’existaient que sur les cartes.
FIGARO MAGAZINE




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