"Anthologie Ferdinand Gabin" par Le Guide du CD
*** Le Guide du CD « Une véritable anthologie Gabin qui ne se contente pas de proposer de jean le fils (vingt-neuf morceaux enregistrés) mais offre également une sélection de dix-sept titres de Ferdinand, le père. Un nom bien de Paris, entré dans toutes les mémoires et dans la légende cinématographique du siècle. » LE GUIDE DU CD
*** Le Guide du CD « Une véritable anthologie Gabin qui ne se contente pas de proposer de jean le fils (vingt-neuf morceaux enregistrés) mais offre également une sélection de dix-sept titres de Ferdinand, le père. Un nom bien de Paris, entré dans toutes les mémoires et dans la légende cinématographique du siècle. » LE GUIDE DU CD
"Anthologie Jean et Ferdinand Gabin (Frémeaux)" par Première
Une idée pour les amateurs : réunir en un double CD, la compil' des chansons de Jean Gabin (qui, comme on le sait pas toujours, a démarré sa carrière en tant qu'artiste de cabaret, notamment aux côtés de Mistinguett, soit de Quand on s'promène au bord de l'eau jusqu'à Jeeeeee sais) avec celle de son papa, fameux chanteur de café-concert de la fin du siècle dernier. PREMIERE
"Délicieux et magnifiquement restauré" par Le Figaro
Comme Paul Meurisse ou Bourvil, Jean Gabin est venu au cinéma par la chanson, la revue et le music-hall. Voici l'intégrale de ses vingt-neuf enregistrements phonographiques, les duos avec Mistinguett (1928) comme les succès de scène (Léo Léa Elie, C'est chouette d'être un monsieur) et , évidemment l'indispensable Quand on s'promène au bord de l'eau, tiré du film La Belle équipe de Duvivier en 1936. En 1974, deux ans avant sa mort, il devait accepter de revenir dans un studio pour enregistrer Maintenant je sais, chanson parlée qui marquait une sorte d'adieu au show business. Ce dont l'on se souvient encore moins, c'est que Jean Gabin était le fils de Ferdinand Gabin, fantaisiste réputé, dont dix-sept titres (cylindres et disques de 1896 à 1906) complètent ce double CD : un supplément délicieux et magnifiquement restauré. LE FIGARO
"Un superbe coffret" par Le Film Français
Il était l'homme de la rue, l'homme de tous les jours, le mécano, le cheminot, le manoeuvre, l'ouvrier, le marlou... Il était celui que l'on croise dans la rue, dans le métro, au bistrot, à l'usine, place Pigalle, dans les rues de Londres, Rome, New York... Jean Alexis Moncorgé, alias Jean Gabin, réunissait ce tour de force d'être universel tout en restant essentiellement français et qui plus est "parigot". La grandeur de Gabin, c'est d'avoir fait accéder cet homme de tous les jours à la tragédie, de l'avoir intégré aux grandes légendes de la douleur des hommes poursuivis par le destin et la fatalité. Pour célébrer ce comédien d'exception, l'éditeur musical Patrick Frémeaux publie un superbe coffret de deux CD, où l'on retrouve la face cachée de Jean Gabin, celle du chanteur. Un Gabin qui était, comme aimait à le souligner son ami Jacques Prévert, synchrone de la tête aux pieds. Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si, vers la fin de sa vie, son dernier grand succès fut une chanson (Maintenant je sais), qui bouclait formidablement la boucle de sa carrière et jetait de façon définitive un pont entre les deux activités de sa vie d'artiste. Entrées dans nos mémoires et dans nos coeurs, ces 31 chansons, qui furent créées de 1928 (en duo avec Mistinguet) : On m'suit, La java de Doudoune, C'est un petit rien...) à 1974 (Maintenant...) devraient ravir tous les afficionados de Jean Gabin. A noter que l'on trouve également dans ce somptueux coffret 17 chansons interprétées par Ferdinand Eugène Joseph Gabin-Moncorgé, dit Gabin père, qui marque l'âge d'or du café-concert (Le roi Gambrinus, En revenant de la revue, La levrette de la marquise, L'amour malin...), le tout accompagné d'un livret de 20 pages, signé Philippe Chauveau, où l'on apprend tout sur la carrière de Gabin chanteur. J-P.B.-LE FILM FRANCAIS
"Tout Jean Gabin" par Centre Presse, Le Courrier de l'Ouest, L'Eclair
Jean Gabin : l'Intégrale! Avec une anthologie des enregistrements de son père, Ferdinand Gabin. Enregistrements de 1899 (oui!) à 1974. Un coffret de deux disques compacts Frémeaux et Associés distribué par Night and Day. Tout le monde adore le jeune prolo qui chantait "Quand on s'promène au bord de l'eau" en 1936; et qui n'a pas au moins souri en l'écoutant "je sais que je ne sais rien mais ça j'le sais pas!" par le vieux Gabin, presque cinquante ans plus tard? Ce coffret qui propose "Tout Gabin" obtient donc un succès mérité, d'autant plus que les chansons moins célèbres ne manquent pas d'intérêt, même si elles ont pris de la bouteille! Notamment celles enregistrées par Mistinguett (ce qui ne nous rajeunit pas, crénom de nom!). En complément de programme, l'éditeur a eu la curiosité et l'intelligence de graver les très vieilles vires du père de Jean Gabin : voyage dans le temps à la découverte des gaillardises qui faisaient hurler de rire nos arrière-arrière-grands-parents ! "Pur" comique-troupier qui disparaîtra dans les tranchées de 14... En somme, voici un "monument", non pas aux Morts, mais à la rigolade bien de chez nous.-CENTRE PRESSE-LE COURRIER DE L'OUEST-L'ECLAIR
« Un savoureux recueil » par Télérama
Un savoureux recueil réunit les Moncorgé, chanteurs et comédiens de père en fils. Ferdinand-Joseph fit les beaux soirs des caf’conç’, avec son épouse, la « diseuse » Hélène Petit : puis il se partagea entre théâtre, opérettes et revues. Des cylindres enroués, gravés entre 1896 et 1906, nous restituent ici ses « monologues réalistes » et « chansonnettes » alertes. Moncorgé fils a hérité de son goût pour la gouaille et des refrains guinchants… Les enregistrements de Jean Gabin constituent la majeure partie de ce coffret. Celui-ci s’ouvre sur ce fameux Ce que je sais, écrit par Jean-Loup Dabadie et publié en 1974, bilan narquois énoncé à voix rauque de fumeur inassouvi. Suivent des chansons enregistrées entre 1930 et 1936. Elles témoignent de la carrière de caf’conç’ du fils Moncorgé, comme cette P’tite Gueule, signée Van Parys : de sa participation à l’opérette Arsène Lupin Banquier, en 1930, qui lui valut d’être remarqué et par le public et par les producteurs de cinéma : de cette carrière sur pellicule qui a laissé des refrains mémorables, tel ce Quand on s’promène au bord de l’eau, extrait de La Belle Equipe de Duvivier, où les « r » roulent à ravir, où la mélodie nous entraîne à gambiller musette… Le duo Mistinguet-Jean Gabin, qui a précédé les années cinéma, est reconstitué à la fin du premier disque : sept chansons enregistrées en 1928 font ressurgir les amours du « boy » et de la Miss, dont la voix forte recouvre celle, plus timide, de son partenaire. Ce n’est pas le moindre des trésors de cette Intégrale! […] Anne-Marie PAQUOTTE - TELERAMA